Le Mobux ne peut tenir tête au ProStyle Lettrage de Lévis

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Dans un match qui a ravi les spectateurs réunis à Sherbrooke, le Mobux a échappé des avances de 3-0 et de 5-3 pour finalement s’incliner par la marque de 6-5 face au ProStyle Lettrage de Lévis.

Pierre-Olivier Ouellet, grande vedette offensive du match, a dirigé l’attaque des siens avec une récolte de 4 points (2 buts, 2 passes). D’ailleurs, il s’est vu remettre la 2e étoile de la rencontre.

Un début de match tout à l’avantage du Mobux

Visiblement déterminés à racheter leur match décevant face à Sherbrooke, les troupiers de Kevin Gauthier ont littéralement pris d’assaut la surface de jeu. Face à une équipe qui en était à sa première rencontre de la soirée, le Mobux a inscrit les trois premiers buts de la rencontre.

D’abord, Matthew David et Félix Meunier ont profité des superbes talents de passeur de Pierre-Olivier Ouellet pour ouvrir la marque. Puis, fraichement débarqué avec sa nouvelle formation, Simon Bellefleur a alimenté brillamment le grand #71 qui à son tour a fait bouger les cordages.

Tout juste avant la fin de la période, Xavier Pouliot a profité d’un avantage numérique pour inscrire les visiteurs au pointage.

Lévis ne lâche pas le morceau

Moins de 120 secondes ont été nécessaires pour que Lévis crée l’égalité. Néanmoins, Pierre-Olivier Ouellet, encore lui, s’est chargé de redonner les devants aux siens. À la 4e minute, son tir frappé de la ligne centrale s’est faufilé entre les jambières du gardien.

Puis, la hargne et la détermination d’Anthony Caron, à l’embouchure du filet, a rapporté ses dividendes. Gabriel Fredette a sauté sur une rondelle libre, résultat du travail de Caron, pour pousser lentement la balle derrière la ligne des buts. L’avance du Mobux était à nouveau de 2 buts.

Malheureusement, trois buts sans riposte, dont un dernier à 73 secondes de la fin du match, a sonné la fin des espoirs pour McMaster.

Commentaires d’après-match

Après la rencontre, Pierre-Olivier Ouellet était certes fier de sa performance, mais tenait à mentionner que ses coéquipiers et lui n’avaient jamais abandonné et avait tout laissé sur le terrain.

Animer l’attaque, c’est ce que j’aime le plus. Par ailleurs, on se disait, même quand ça n’allait pas exactement comme on le voulait, de nous amuser. De jouer et d’en profiter. Pas de doute que les victoires vont venir dans un avenir rapproché.

– Pierre-Olivier Ouellet